Nantes - Pornic, la voie tranquille vers la mer Nantes - Publié le 16/08/2016 à 09:14
Pierre Momboisse
Reportage à bord du train Nantes-Pornic, le fameux train des plages. À peine plus d'une heure pour se rendre à la mer, la solution idéale en cette période estivale?
Rezé Pont-Rousseau. Bouaye. Port-Saint-Père - Saint-Mars. Sainte-Pazanne. Saint-Hilaire-de-Chaléons. Bourgneuf-en-Retz. Les Moutiers-en-Retz. La Bernerie-en-Retz. Rejoindre Pornic par les rails, voilà un périple aussi sinueux que les méandres de la Loire.
Le train commence par un demi-tour, traverse l’île de Nantes, franchit les deux bras du fleuve, flirte avec l’aéroport de Nantes-Atlantique sans s’y arrêter, s’approche du lac de Grand-Lieu, perce les vignes du pays de Retz et ses petits villages aux vieux passages à niveau, pour finalement offrir une première fenêtre sur la mer, aux Moutiers-en-Retz.
D’aucuns verraient là l’éloge de la lenteur. Un trajet suranné.
Pourtant, la pendule fait foi. À peine plus d’une heure pour se rendre à la mer. Honnête. Là où les autos mettent 45 minutes un bon jour, font bien pire un week-end d’été, sans compter la recherche de stationnement. Alors, chaque voyageur a de bonnes raisons de choisir les rails...
Lire la suite dans les pages Ouest-France du 16 août (page 6) ou sur notre édition numérique
Pierre Momboisse
Reportage. Il circule toute l’année, mais l’été, il s’appelle le train des plages. Il bénéficie d’horaires aménagés pour relier la cité des Ducs à la côte. Embarquement à bord du paisible Nantes - Pornic.
Reportage à bord du train Nantes-Pornic, le fameux train des plages. À peine plus d'une heure pour se rendre à la mer, la solution idéale en cette période estivale?
Rezé Pont-Rousseau. Bouaye. Port-Saint-Père - Saint-Mars. Sainte-Pazanne. Saint-Hilaire-de-Chaléons. Bourgneuf-en-Retz. Les Moutiers-en-Retz. La Bernerie-en-Retz. Rejoindre Pornic par les rails, voilà un périple aussi sinueux que les méandres de la Loire.
Le train commence par un demi-tour, traverse l’île de Nantes, franchit les deux bras du fleuve, flirte avec l’aéroport de Nantes-Atlantique sans s’y arrêter, s’approche du lac de Grand-Lieu, perce les vignes du pays de Retz et ses petits villages aux vieux passages à niveau, pour finalement offrir une première fenêtre sur la mer, aux Moutiers-en-Retz.
D’aucuns verraient là l’éloge de la lenteur. Un trajet suranné.
Pourtant, la pendule fait foi. À peine plus d’une heure pour se rendre à la mer. Honnête. Là où les autos mettent 45 minutes un bon jour, font bien pire un week-end d’été, sans compter la recherche de stationnement. Alors, chaque voyageur a de bonnes raisons de choisir les rails...
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