Drame de Millas. Une expertise accable la conductrice du car
:letelegramme_l05.10.2018
La conductrice du car a toujours affirmé aux enquêteurs que la barrière du passage à niveaux était ouverte. Une hypothèse que balayent les investigations techniques effectuées sur le véhicule. Les experts expliquent dans leur rapport que la conductrice a freiné trop tardivement face à la barrière fermée. « Lorsqu’elle décide de freiner, l’autocar […] est déjà trop près de la barrière fermée et elle ne réussit pas à stopper l’autocar avant d’atteindre la voie ferrée. Sur sa lancée, bien qu’elle soit en freinage, elle percute la barrière du passage à niveau qui se plie », décrit le rapport.
Une version qui confirme celle avancée par les deux conducteurs du TER, qui avaient « nettement vu le car pousser la barrière, la franchir et avancer sur la voie ferrée ». Les experts ont aussi écarté tout dysfonctionnement du passage à niveau « qui aurait pu conduire à une non-fermeture de barrière au moment du passage du train ».
La conductrice du car, âgée de 48 ans, a été mise en examen pour homicides et blessures involontaires. L’instruction devrait se poursuivre avec des rapports attendus de deux experts médicaux, un ORL et une ophtalmologue, chargés de déterminer si les somnifères que prenait la conductrice ont pu avoir une influence sur son état physique au moment de l’accident.
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La responsabilité de la conductrice du car percuté par un TER à Millas en décembre 2017, drame qui a coûté la vie à six collégiens, est de plus en plus engagée d’après un rapport d’experts.
Freinage tardif, barrière enfoncée, les conclusions d’un rapport technique sont accablantes pour la conductrice du car percuté par un TER à Millas le 14 décembre 2017, drame qui a coûté la vie à six collégiens. « L’origine de cet accident provient d’un freinage tardif de la conductrice de l’autocar », écrivent les experts dans un rapport remis à la juge chargée d’instruire cette affaire, dont Le Parisien révèle les grandes lignes ce vendredi.La conductrice du car a toujours affirmé aux enquêteurs que la barrière du passage à niveaux était ouverte. Une hypothèse que balayent les investigations techniques effectuées sur le véhicule. Les experts expliquent dans leur rapport que la conductrice a freiné trop tardivement face à la barrière fermée. « Lorsqu’elle décide de freiner, l’autocar […] est déjà trop près de la barrière fermée et elle ne réussit pas à stopper l’autocar avant d’atteindre la voie ferrée. Sur sa lancée, bien qu’elle soit en freinage, elle percute la barrière du passage à niveau qui se plie », décrit le rapport.
Pas de dysfonctionnement du passage à niveau
Une version qui confirme celle avancée par les deux conducteurs du TER, qui avaient « nettement vu le car pousser la barrière, la franchir et avancer sur la voie ferrée ». Les experts ont aussi écarté tout dysfonctionnement du passage à niveau « qui aurait pu conduire à une non-fermeture de barrière au moment du passage du train ».
La conductrice du car, âgée de 48 ans, a été mise en examen pour homicides et blessures involontaires. L’instruction devrait se poursuivre avec des rapports attendus de deux experts médicaux, un ORL et une ophtalmologue, chargés de déterminer si les somnifères que prenait la conductrice ont pu avoir une influence sur son état physique au moment de l’accident.
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