du 25 02 2022 Betton : une mauvaise surprise pour la construction du passage souterrain sous la voie ferrée Rennes - St Malo qui doit remplacer le passage à niveau près de la gare
L’annonce de la SNCF nous a secoués, confie Laurence Besserve, la maire de Betton (Ille-et-Vilaine). Rennes métropole et la commune planchent depuis des années sur la construction d’une trémie pour que les voitures ne passent plus par le passage à niveau, près de la gare.
Un gros chantier de près de 15 millions d’euros, minimum, qui va encore s’alourdir. Il y a une présence d’eau souterraine à faible profondeur, détaille la maire. Le sol est perméable et l’eau pourrait donc s’infiltrer dans la trémie.
Quatre millions de plus
Deux solutions pour y remédier. Des pompes qui réguleraient le flux mais devraient fonctionner constamment. Ou un cuvelage, c’est-à-dire une coque qui protège l’ouvrage sans affecter l’eau. C’est dans ce sens que s’orientent les experts.
Le problème, c’est qu’en plus d’alourdir le chantier, cette mauvaise surprise pèse aussi fortement sur la facture. Une première estimation montait jusqu’à plus de 7 millions. C’est un vrai coup dur , lâche Laurence Besserve.
Avec Rennes métropole, on a réussi à optimiser des aménagements pour limiter les coûts, comme réduire la largeur des trottoirs et des pistes cyclables. Ça ne perturbera pas les usages mais permet d’avoir un ouvrage moins large, donc une cuve moins grande. Il faudra compter quand même au moins 4 millions d’euros de plus sur l’enveloppe globale.
Betton
L’annonce de la SNCF nous a secoués, confie Laurence Besserve, la maire de Betton (Ille-et-Vilaine). Rennes métropole et la commune planchent depuis des années sur la construction d’une trémie pour que les voitures ne passent plus par le passage à niveau, près de la gare.
Un gros chantier de près de 15 millions d’euros, minimum, qui va encore s’alourdir. Il y a une présence d’eau souterraine à faible profondeur, détaille la maire. Le sol est perméable et l’eau pourrait donc s’infiltrer dans la trémie.
Quatre millions de plus
Deux solutions pour y remédier. Des pompes qui réguleraient le flux mais devraient fonctionner constamment. Ou un cuvelage, c’est-à-dire une coque qui protège l’ouvrage sans affecter l’eau. C’est dans ce sens que s’orientent les experts.
Le problème, c’est qu’en plus d’alourdir le chantier, cette mauvaise surprise pèse aussi fortement sur la facture. Une première estimation montait jusqu’à plus de 7 millions. C’est un vrai coup dur , lâche Laurence Besserve.
Avec Rennes métropole, on a réussi à optimiser des aménagements pour limiter les coûts, comme réduire la largeur des trottoirs et des pistes cyclables. Ça ne perturbera pas les usages mais permet d’avoir un ouvrage moins large, donc une cuve moins grande. Il faudra compter quand même au moins 4 millions d’euros de plus sur l’enveloppe globale.
Betton
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