04 03 2022
Pour rejoindre la capitale bretonne, deux solutions de transport en commun s’offrent à eux : le train ou le car. Contre toute attente, c’est ce dernier mode de locomotion qui s’avère le plus pratique. Les chiffres de la Région le confirment. En 2019 (année hors Covid), le car comptait 59 000 voyageurs (23 % d’abonnés) entre Dinan et Rennes, contre 7 200 passagers pour le TER (11 % d’abonnés).
Par la route, en une heure et dix minutes, les passagers sont déposés dans le centre-ville rennais. La SNCF, elle, propose des trajets entre une heure et plus de deux heures, avec souvent un changement à Dol-de-Bretagne.
Moins cher et plus fréquent
Xavier, 48 ans, est l’un des usagers du car Dinan-Rennes. Fonctionnaire d’État, il monte dans le véhicule à 7 h 24 tous les matins. Son premier critère : le prix. « C’est plus économique que le train, expose-t-il. En car, j’en ai pour 65 € par mois contre environ 130 € en train (l’abonnement annuel en TER coûte 147 €, N.D.L.R.). »
L’autre atout du car, c’est sa fréquence. Avec sept passages le matin, contre quatre pour le train (dont un direct), ses horaires sont plus souples. « C’est ce qu’on veut pour du transport domicile-travail, on cherche quelque chose de fréquent », confirme Fatiha, 52 ans, en attendant le bus de la ligne 7.
« Les horaires des trains ne sont pas adaptés »
Cette formatrice en insertion professionnelle aurait voulu embarquer dans une rame de la SNCF « parce qu’on sait quand on part et quand on arrive », mais « les horaires ne sont pas adaptés. Déjà qu’on passe beaucoup de temps sur le trajet, si en plus on doit attendre une heure et demie… » Même avis pour Xavier. « Au moins, on n’a pas à se poser de questions sur les correspondances. »
Pour rejoindre la capitale bretonne, deux solutions de transport en commun s’offrent à eux : le train ou le car. Contre toute attente, c’est ce dernier mode de locomotion qui s’avère le plus pratique. Les chiffres de la Région le confirment. En 2019 (année hors Covid), le car comptait 59 000 voyageurs (23 % d’abonnés) entre Dinan et Rennes, contre 7 200 passagers pour le TER (11 % d’abonnés).
Par la route, en une heure et dix minutes, les passagers sont déposés dans le centre-ville rennais. La SNCF, elle, propose des trajets entre une heure et plus de deux heures, avec souvent un changement à Dol-de-Bretagne.
Moins cher et plus fréquent
Xavier, 48 ans, est l’un des usagers du car Dinan-Rennes. Fonctionnaire d’État, il monte dans le véhicule à 7 h 24 tous les matins. Son premier critère : le prix. « C’est plus économique que le train, expose-t-il. En car, j’en ai pour 65 € par mois contre environ 130 € en train (l’abonnement annuel en TER coûte 147 €, N.D.L.R.). »
L’autre atout du car, c’est sa fréquence. Avec sept passages le matin, contre quatre pour le train (dont un direct), ses horaires sont plus souples. « C’est ce qu’on veut pour du transport domicile-travail, on cherche quelque chose de fréquent », confirme Fatiha, 52 ans, en attendant le bus de la ligne 7.
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