Quimper - Châteaulin-Embranchement - Hanvec - Landerneau
Mise en service par la Compagnie d'Orléans :
- section Quimper - Châteaulin-Embranchement (30,500 km) : le 12 décembre 1864.
- section Châteaulin-Embranchement - Landerneau (53 km) : le 16 décembre 1867.
Point culminant : PK 708 + 500 situé entre Quéménéven (PK 702 + 500)
et Châteaulin-Embranchement (PK 715 + 200).
Point le plus bas : Quimper (PK 684 + 700)
Déclivités maximales des rampes et pentes : 12 ‰.
Longueur : 83,500 km jusqu'à la bifur de Quimper située à 900 mètres de Landerneau.
Mise en service par la Compagnie d'Orléans :
- section Quimper - Châteaulin-Embranchement (30,500 km) : le 12 décembre 1864.
- section Châteaulin-Embranchement - Landerneau (53 km) : le 16 décembre 1867.
Point culminant : PK 708 + 500 situé entre Quéménéven (PK 702 + 500)
et Châteaulin-Embranchement (PK 715 + 200).
Point le plus bas : Quimper (PK 684 + 700)
Déclivités maximales des rampes et pentes : 12 ‰.
Longueur : 83,500 km jusqu'à la bifur de Quimper située à 900 mètres de Landerneau.
La ligne Brest-Quimper a failli dérailler
Il y a une dizaine d'années, la ligne SNCF Brest-Quimper était moribonde. La Région qui n'entendait pas tirer un trait sur cette liaison ferroviaire ouverte vers 1865, a réussi à faire entendre sa voix. De grands travaux de réfection débuteront en 2017. Coût : 70 M€. > Bretagne grande vitesse, grandes lignes confirmées Il y a encore quelques mois, il fallait une heure de train pour rallier Brest à Quimper. Aujourd'hui, il faut compter plus d'1 h 20. Soit 20 minutes de plus qu'en voiture. Pourquoi ce TER s'est-il transformé en tortillard ? « Parce que, les années passant, la ligne s'est vraiment détériorée et qu'on nous oblige à respecter des zones de limites de vitesse à 60 km/h de plus en longues », commente un conducteur de la SNCF. La zone la plus dégradée étant comprise entre Brest et Châteaulin. Distance que le train parcourt actuellement en 58 minutes, soit 22 de plus qu'en car.
Pour les syndicats et les représentants des usagers, il était évident que la SNCF voulait enterrer cette ligne au profit du car bien moins coûteux (*). Gérard Lahellec, vice-président du conseil régional chargé des transports, ne dit pas le contraire. « Je le répète. C'est la Région qui a poussé à la roue. En 2007, nous avons inscrit de l'argent pour ce projet au contrat de plan. Puis des rallonges dans les mois qui ont suivi. On a aussi cofinancé à hauteur de 5 M€ des études techniques. Avec le conseil général, autre partenaire financier, nous étions prêts. Ces travaux auraient dû commencer en 2015. Autour du projet, nous n'avons pas tous avancé à la même vitesse ». En clair, la SNCF aurait préféré actionner le frein plutôt que d'appuyer sur l'accélérateur. Et Gérard Lahellec de poursuivre : « Depuis le début, nous avons misé sur l'avenir de cette ligne. En investissant notamment dans neuf trains - 45 millions €- capables de rouler à l'électricité ou au diesel sur des zones non pourvues de caténaires. Comme c'est le cas entre Landerneau et Quimper ».
Électrifier ce tronçon aurait coûté les yeux de la tête : au bas mot 83 M€. Ces divergences étant apparemment aplanies, les travaux de réfection de la voie devraient débuter en 2017. Ils concernent le réaménagement total de la plate-forme, des ballasts, des rails mais aussi des traverses. Certains ouvrages d'art seront également repris.
Pas de train pendant un an
Pour ce faire, la circulation des trains sera complètement interrompue pendant au moins douze mois. Des cars prendront le relais. Le souhait de Stéphane Leprince, directeur régional SNCF pour les régions Bretagne et Pays-de-la-Loire est de « revenir à 1 h 01 entre les deux villes ». En cette période de restrictions budgétaires, il dit qu'il a fallu trouver des compromis. « Mais le résultat est là, grâce à un doublement des voies au niveau de Dirinon, les trains pourront se croiser. Ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Des agents actionneront les aiguillages dans cette petite gare. On passera ainsi de six à neuf allers et retours quotidiens ».
Également dans les cartons la création d'une desserte aller et retour, directe et quotidienne Brest-Nantes, sans changement de train à Quimper. Ne reste plus à présent qu'à définir quelles communes seront desservies sur le parcours. « Certains trains seront directs, poursuit Stéphane Leprince. D'autres s'arrêteront dans plusieurs gares. Les choses n'ont pas encore été arrêtées ». Dernier détail, le plan de financement n'est pas encore bouclé. Hier, il atteignait 66 M€, sur les 70 M€ nécessaires. * L'an dernier, 146.500 personnes ont voyagé sur cette ligne, soit 8 % de moins qu'en 2013.
Le Telegramme
En gare de Dirinon sera aménagé une aire de croisement des trains qui permettra de passer de six à neuf allers et retours quotidiens.
Dernière édition par CFB le Sam 27 Juin - 14:10, édité 1 fois
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