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Saint-Brieuc. L'agglo annonce (enfin) l'ouverture de la passerelle de la gare
Modifié le 14/11/2017 à 10:14 | Publié le 13/11/2017 à 16:40
La passerelle de la gare devrait être accessible mercredi, assure l'Agglomération, après la visite des élus aujourd'hui. Mais pas les accès aux quais. Le chantier aura duré un an et demi.
Une ouverture enfin annoncée
Après cinq mois de retard, Saint-Brieuc Armor Agglomération annonce enfin la fin des travaux. Commencés en avril 2016, avec la démolition de l'ancienne passerelle, ils devaient s'achever en juillet 2017, en même temps que l'arrivée de la LGV entre Paris et la Bretagne. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu...
Des retards en série
Début juillet, la nouvelle tombe. L'ouverture de la passerelle est repoussée à une date indéterminée. En cause : des problèmes techniques sur le chantier, notamment d'étanchéité, puis des soucis sur les joints et les vitrages, qu'il a fallu entièrement reposer. Début octobre, fin octobre, mi-novembre... Vendredi dernier, rien n'était encore sûr, après la réunion entre les services de l'agglo et les responsables d'entreprise. La décision devait même être prise aujourd'hui ! Autant dire que les Briochins ne sont pas à l'abri d'un énième ajournement.
Des travaux plus chers que prévus
Le chantier de la nouvelle passerelle est à peine lancé, que les premiers ennuis font leur apparition : le conseil d'agglomération doit voter en décembre un nouvel avenant, de 567 000 €. La quantité d'acier de la charpente avait notamment été sous-évaluée. Le coût des travaux s'élève alors à 5,2 millions d'euros.
Un chantier lancé il y a plus d'un an
Au début, les objectifs étaient pourtant là. En premier lieu : démonter l'ancienne passerelle, en avril 2016. Et ce malgré les protestations d'une partie des habitants, pour qui l'édifice du Briochin Louis Harel-de-la-Noë, datant de 1909, faisait partie intégrante de l'histoire de la ville.
La démolition oblige aussi les habitants du quartier de Robien à contourner les rails. Un trajet vers le centre-ville rallongé de vingt minutes, alors que près de la moitié des usagers de la passerelle se déplaçaient à pied, selon une enquête réalisée en 2015. Sept mois plus tard, en novembre, la nouvelle passerelle commençait à être montée de nuit, tronçon par tronçon.
Et maintenant ?
Si l'ouverture de la passerelle est décidée, assure l'agglo, ce n'est pas encore le cas des escaliers et ascenseurs destinés à rejoindre les quais. Il faut encore attendre l'aval de la SNCF. Alors, prêts pour un dernier rebondissement ?
Modifié le 14/11/2017 à 10:14 | Publié le 13/11/2017 à 16:40Enfin..., bah mieux vaut tard que jamais
La passerelle de la gare devrait être accessible mercredi, assure l'Agglomération, après la visite des élus aujourd'hui. Mais pas les accès aux quais. Le chantier aura duré un an et demi.
Une ouverture enfin annoncée
Après cinq mois de retard, Saint-Brieuc Armor Agglomération annonce enfin la fin des travaux. Commencés en avril 2016, avec la démolition de l'ancienne passerelle, ils devaient s'achever en juillet 2017, en même temps que l'arrivée de la LGV entre Paris et la Bretagne. Mais tout ne s'est pas passé comme prévu...
Des retards en série
Début juillet, la nouvelle tombe. L'ouverture de la passerelle est repoussée à une date indéterminée. En cause : des problèmes techniques sur le chantier, notamment d'étanchéité, puis des soucis sur les joints et les vitrages, qu'il a fallu entièrement reposer. Début octobre, fin octobre, mi-novembre... Vendredi dernier, rien n'était encore sûr, après la réunion entre les services de l'agglo et les responsables d'entreprise. La décision devait même être prise aujourd'hui ! Autant dire que les Briochins ne sont pas à l'abri d'un énième ajournement.
Des travaux plus chers que prévus
Le chantier de la nouvelle passerelle est à peine lancé, que les premiers ennuis font leur apparition : le conseil d'agglomération doit voter en décembre un nouvel avenant, de 567 000 €. La quantité d'acier de la charpente avait notamment été sous-évaluée. Le coût des travaux s'élève alors à 5,2 millions d'euros.
Un chantier lancé il y a plus d'un an
Au début, les objectifs étaient pourtant là. En premier lieu : démonter l'ancienne passerelle, en avril 2016. Et ce malgré les protestations d'une partie des habitants, pour qui l'édifice du Briochin Louis Harel-de-la-Noë, datant de 1909, faisait partie intégrante de l'histoire de la ville.
La démolition oblige aussi les habitants du quartier de Robien à contourner les rails. Un trajet vers le centre-ville rallongé de vingt minutes, alors que près de la moitié des usagers de la passerelle se déplaçaient à pied, selon une enquête réalisée en 2015. Sept mois plus tard, en novembre, la nouvelle passerelle commençait à être montée de nuit, tronçon par tronçon.
Et maintenant ?
Si l'ouverture de la passerelle est décidée, assure l'agglo, ce n'est pas encore le cas des escaliers et ascenseurs destinés à rejoindre les quais. Il faut encore attendre l'aval de la SNCF. Alors, prêts pour un dernier rebondissement ?
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