Pays de la Loire. indisponibilité de matéreil

SNCF TER Pays de Loire est confronté à des indisponibilités de matériels roulants qui nous conduisent à alléger le plan de transport sur les liaisons Nantes-Ancenis et Nantes-Savenay jusqu’au vendredi 30/08. Pensez à vérifier vos horaires dans l’appli SNCF. Vérifiez vos horaires ici. 

On omet de préciser le manque de personnel de maintenance et de conduite lié aux congés estivaux. C'est un problème de gestion des effectifs non maîtrisé. Il est vrai ,les cadres décisionnaires sont aussi en  .

La formation de conducteurs est très exigente et longue. Peu "d'élus". Il y a donc un phénomène de pénurie.Le cadencement doit aussi être pris en compte. Sur Ancenis et Savenay les déplacements sont pendulaires et en période estivale la fréquentation est beaucoup moins importante. C'est la même chose pour Rennes (vers Montreuil, La Brohinière et Messac G.).

En Bretagne les horaires TER tiennent compte des variations saisonnières Pour l'été c'est du O6 juillet au 1er septembre.

Pourtant la gestion de la production se fait en amont c'est à dire bien avant. Il y a donc des problèmes au niveau de la stratégie liée à la logistique et donc de l'encadrement censé être opérationnel, Résultat c'est encore le client qui en fait les frais. Attention, à terme cela risque de détourner plus de clients sur d'autres mode de déplacement.

Pays de la Loire. TER supprimés cet été : la SNCF s'explique
 16.07.2019

Effets de la canicule sur les rames, pénurie de main-d’œuvre : une dizaine de trajets ne sont plus assurés pendant deux mois

Un « plan de transport adapté » a été mis en place le 6 juillet par la SNCF, qui se traduit dans la région par la suppression de plusieurs TER en juillet et août. Combien ? Treize par jour, s’inquiétait récemment la CGT (Ouest-France de samedi). La direction régionale de la SNCF répond et relativise :
« Une dizaine de trains supprimés (sur les 520 qui circulent quotidiennement) en jour de semaine. » Une mesure concernant en particulier les axes Nantes-Ancenis et Nantes-Savenay.
La SNCF invoque « deux causes principales de nature conjoncturelle », notamment la canicule. Elle a « engendré une récurrence de pannes immobilisant un nombre important des rames, notamment du matériel Regio2N [les TER à deux niveaux]. » À cela s’ajoute l’incapacité à assurer tous les travaux de maintenance qui en découlent, en raison d’une « pénurie de main-d’œuvre ». La direction régionale évoque « une douzaine de postes non couverts au technocentre », entraînant « un allongement du temps d’immobilisation du matériel et donc son indisponibilité. »

La CGT parlait de son côté de « 15 démissions en 11 mois sur un effectif de 150 » aux ateliers de maintenance de Nantes Blottereau, en raison de « conditions de travail difficiles. » La direction ne confirme ni n’infirme ces chiffres et n’a pas souhaité commenter les raisons de ces départs. Elle rapproche ces difficultés « pour recruter », de celles des autres entreprises de la région. Elle indique travailler avec les sociétés d’intérim et Pôle emploi et s’être rapprochée de la Chambre de commerce et d’industrie « pour connaître les ressources disponibles dans leurs centres de formation. »

[size=30]Ça grogne sur la ligne Nantes – Saint-Gilles-Croix-de-Vie – Pornic[/size]

Hier à Challans (Vendée), l’Association Sud Loire Océan (Aslo) a exprimé son mécontentement sur les lignes Nantes-Pornic et Nantes-Saint-Gilles-Croix-de-Vie : 18 pannes de train depuis 6 mois, 34 annulations. Et du 17 au 23 juin, sur la ligne Saint-Gilles – Nantes, 15 heures de retard cumulées.