Brest. Le téléphérique, cette attraction touristique
18.08.2018
Unique en son genre en France, le téléphérique de Brest est prisé des vacanciers. Deux mille personnes l’empruntent chaque jour depuis le début de l’été, pour découvrir la ville vue du ciel.
Deux ans et demi après son inauguration, en novembre 2016, le téléphérique est devenu un des symboles de Brest. Charlotte et Lewin, ses cabines, ont fêté leur millionième voyageur en avril dernier.
Et il n’y a pas que les Brestois qui l’empruntent pour traverser la Penfeld : ces derniers jours gris, voire pluvieux, les touristes s’y pressent en nombre. En plein après-midi, le téléphérique ne désemplit pas. Au milieu des familles chargées de trottinettes en route vers les Capucins, les visiteurs d’ailleurs se remarquent facilement. Ils jettent un œil mi-intrigué mi-effrayé aux cabines, ne sachant pas trop par où monter. « Et il va où en fait ? », se demande un père de famille.
David et Katarina ont les yeux rivés au hublot au sol, tandis que leurs camarades admirent la vue. Le voyage est « très sympa », juste un peu trop court à leur goût.
Corinne et ses enfants vivent au Maroc, et sont à Brest pour la première fois. Eux non plus ne connaissaient pas le téléphérique avant leur arrivée. « On le prend pour aller aux Capucins, mais aussi pour l’attraction. » Les enfants sont un peu effrayés : « ça fait peur quand même », glisse Clément.
Selon Keolis, l’exploitant du réseau, le téléphérique a transporté 1 800 voyageurs par jour en juillet, et 2 000 par jour depuis le début du mois d’août. En 2017, 80 % des titres de transport utilisés entre avril et septembre étaient à usage unique ; un chiffre « révélateur de l’aspect visite du site », notait alors l’observatoire du tourisme. Le téléphérique est même répertorié au Guide vert Michelin.
Des visiteurs comme Murielle et Eric, rencontrés sur l’esplanade des Capucins. Le couple et leur fille, originaires de la Sarthe, font le tour de la Bretagne en camping-car. « On a vu aux actualités qu’il y avait un téléphérique urbain, on est venus à Brest pour le voir ».
Annie, de Rennes, est à Brest pour quelques jours. Elle a entendu parler du téléphérique « par des amis du coin ». La sexagénaire regarde la cabine, et frissonne. « Jamais je ne monterai là-dedans, j’ai le vertige. Mais je suis venue voir comment il fonctionne, par curiosité ». Qu’on l’aime ou qu’on le craigne, le téléphérique n’en finit pas d’attirer !
18.08.2018
Unique en son genre en France, le téléphérique de Brest est prisé des vacanciers. Deux mille personnes l’empruntent chaque jour depuis le début de l’été, pour découvrir la ville vue du ciel.
Deux ans et demi après son inauguration, en novembre 2016, le téléphérique est devenu un des symboles de Brest. Charlotte et Lewin, ses cabines, ont fêté leur millionième voyageur en avril dernier.
Et il n’y a pas que les Brestois qui l’empruntent pour traverser la Penfeld : ces derniers jours gris, voire pluvieux, les touristes s’y pressent en nombre. En plein après-midi, le téléphérique ne désemplit pas. Au milieu des familles chargées de trottinettes en route vers les Capucins, les visiteurs d’ailleurs se remarquent facilement. Ils jettent un œil mi-intrigué mi-effrayé aux cabines, ne sachant pas trop par où monter. « Et il va où en fait ? », se demande un père de famille.
[size=30]« Ça fait peur »[/size]
Certains touristes connaissent déjà l’existence du téléphérique, d’autres le découvrent par hasard une fois sur place. C’est le cas de ces jeunes scouts allemands. « Ça nous a intrigués, on est venus voir de plus près », lâche Thekla. Après s’être inquiétés du prix d’un voyage, 1,60 € soit le même prix qu’un billet de tram, (« oh, ce n’est pas cher ! »), toute la troupe monte dans la cabine, direction les Capucins.David et Katarina ont les yeux rivés au hublot au sol, tandis que leurs camarades admirent la vue. Le voyage est « très sympa », juste un peu trop court à leur goût.
Corinne et ses enfants vivent au Maroc, et sont à Brest pour la première fois. Eux non plus ne connaissaient pas le téléphérique avant leur arrivée. « On le prend pour aller aux Capucins, mais aussi pour l’attraction. » Les enfants sont un peu effrayés : « ça fait peur quand même », glisse Clément.
Le téléphérique s'emprunte... et se photographie. | Ouest-France
[size] [/size][size=30]52 500 voyageurs en juillet[/size]
À l’office du tourisme de Brest Métropole, on constate un engouement certain pour le téléphérique. « Il attire les visiteurs », affirme Valérie Brouard, agente d’accueil.Selon Keolis, l’exploitant du réseau, le téléphérique a transporté 1 800 voyageurs par jour en juillet, et 2 000 par jour depuis le début du mois d’août. En 2017, 80 % des titres de transport utilisés entre avril et septembre étaient à usage unique ; un chiffre « révélateur de l’aspect visite du site », notait alors l’observatoire du tourisme. Le téléphérique est même répertorié au Guide vert Michelin.
Des visiteurs comme Murielle et Eric, rencontrés sur l’esplanade des Capucins. Le couple et leur fille, originaires de la Sarthe, font le tour de la Bretagne en camping-car. « On a vu aux actualités qu’il y avait un téléphérique urbain, on est venus à Brest pour le voir ».
Annie, de Rennes, est à Brest pour quelques jours. Elle a entendu parler du téléphérique « par des amis du coin ». La sexagénaire regarde la cabine, et frissonne. « Jamais je ne monterai là-dedans, j’ai le vertige. Mais je suis venue voir comment il fonctionne, par curiosité ». Qu’on l’aime ou qu’on le craigne, le téléphérique n’en finit pas d’attirer !
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