Carhaix. La machine à vapeur BB 141 TB 424 est à la CFTA
30.01.2019
Elle est arrivée en gare de Carhaix, en quelques heures d’acheminement. Elle va hiverner dans les ateliers des CFTA.
Le contraste est frappant. Tractée par une machine 4 800, la machine à vapeur, de type BB 141 TB 424, entre au pas, en gare de Carhaix, sous les regards des plus nostalgiques. Sur l’autre voie parallèle, le conducteur du TER, vient de démarrer un engin 73500. Deux époques, deux machines. Les anciennes locomotives ont déserté les emprises ferroviaires
, depuis plusieurs décennies. Mais la ville garde encore les souvenirs d’un temps passé, en exposant, place Jean-Rohou, la Mallet , qui, jadis, sillonnait les lignes du réseau breton.
Propriété du musée de Mulhouse, la locomotive mettait plusieurs semaines pour effectuer ses trajets, pour remonter en Alsace en automne et surtout redescendre en Bretagne. « En 2018, elle est arrivée plusieurs semaines après le début de la saison, après quelques soucis mécaniques, regrette Ernest Manac’h, sous-directeur de l’entreprise locale. Aujourd’hui, nous allons pouvoir l’entretenir sur place. Le fait de disposer de cette machine va permettre de proposer des voyages ou encore des sorties pour des événements ponctuels. Cet été, la machine sera livrée en temps et en heure, ce qui permettra de démarrer au jour choisi. »
30.01.2019
Elle est arrivée en gare de Carhaix, en quelques heures d’acheminement. Elle va hiverner dans les ateliers des CFTA.
Le contraste est frappant. Tractée par une machine 4 800, la machine à vapeur, de type BB 141 TB 424, entre au pas, en gare de Carhaix, sous les regards des plus nostalgiques. Sur l’autre voie parallèle, le conducteur du TER, vient de démarrer un engin 73500. Deux époques, deux machines. Les anciennes locomotives ont déserté les emprises ferroviaires
, depuis plusieurs décennies. Mais la ville garde encore les souvenirs d’un temps passé, en exposant, place Jean-Rohou, la Mallet , qui, jadis, sillonnait les lignes du réseau breton.
[size=30]Un entretien sur place[/size]
Cette machine, toujours en activité, qui arrive de Pontrieux, s’ébroue durant la saison estivale sur les falaises paimpolaises, dans le cadre de la Vapeur du Trieux. Elle va passer l’hiver au « chaud », dans les ateliers de la société des Chemins de fer et transport automobile (CFTA). Il y a plusieurs raisons à cela.Propriété du musée de Mulhouse, la locomotive mettait plusieurs semaines pour effectuer ses trajets, pour remonter en Alsace en automne et surtout redescendre en Bretagne. « En 2018, elle est arrivée plusieurs semaines après le début de la saison, après quelques soucis mécaniques, regrette Ernest Manac’h, sous-directeur de l’entreprise locale. Aujourd’hui, nous allons pouvoir l’entretenir sur place. Le fait de disposer de cette machine va permettre de proposer des voyages ou encore des sorties pour des événements ponctuels. Cet été, la machine sera livrée en temps et en heure, ce qui permettra de démarrer au jour choisi. »
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